Ce matin j’ai relu « La Parure », nouvelle de Maupassant publiée en 1884. Il s’agit d’une femme qui ne satisfait pas de sa condition sociale et financière. Un jour, elle et son époux sont invités à une fête huppée. Comme elle ne possède pas de bijoux, elle emprunte une rivière de diamants à une ancienne amie…
Je ne me lasse pas de relire cette nouvelle. Elle soulève de nombreuses interrogations sur la personne humaine, sur les apparences, sur le dépit et la jalousie, mais aussi et surtout sur le sentiment de ne pas être à sa place. Aussi terminerai-je ce court post par cette question : l’orgueil et le plaisir, aussi furtifs soient-ils, impliquent-ils toujours un prix à payer ?